Lundi, 01/07/2019 10:40 (GMT+7)
Sous les auspices de l’Agence d'aide australienne, un colloque intitulé “Violences sexuelles à l’école" a été organisé le 28 juin à Hanoï par le journal Phu nu Viet Nam (Femmes vietnamiennes), en collaboration avec le Centre de recherche et d’application technologique sur le genre, la famille, les femmes et les adolescents (CSAGA).
Photo d'illustration/ Haiquan
La discussion à abordé des questions clés telles que "la presse avec la lutte contre les violences sexuelles dans les écoles"; "le rôle des enseignants, des écoles et des agences de gestion de l'éducation"; "les insuffisances de la loi pour protéger les enfants, la participation des organisations non gouvernementales à la coordination avec les écoles pour lutter contre la maltraitance des enfants".
On dit que l'école est un lieu sûr pour les enfants, mais ces derniers temps, non seulement la violence à l'école entre enseignants et étudiants, mais les agressions sexuelles sont devenus plus effrayantes.
La maltraitance des enfants dans les écoles a tendance à augmenter, des violences sexuelles d’élèves se produisent même dans l’école elle-même. Bien que tous les organismes publiques, les organisations sociales et de nombreuses personnes unissent leurs efforts pour protéger les enfants, jusqu'à présent, les abus sexuels sur enfants n'étaient pas strictement contrôlés. De nombreux incidents ont défrayé l'opinion publique.
Lors des dernières sessions de l'Assemblée nationale, les abus sexuels sur enfants ont été l'un des nombreux sujets “chauds”, attirant l’attention particulière des députés. En particulier, la 7ème session de l’Assemblée nationale (la 14ème législature) a convenu de choisir le thème de la supervision suprême en 2020 comme étant "la mise en œuvre des politiques et lois sur la prévention et la lutte contre les abus sur les enfants".
Afin de créer un espace sûr pour les enfants n'importe quand et n'importe où, la dénonciation publique et le traitement sévère des actes de maltraitance envers les enfants en général et des violences sexuelles en particulier des autorités ne suffit pas. Comment limiter au niveau le plus bas la maltraitance des enfants demeure au cœur des préoccupations.
En particulier, les voix des activistes sociaux, des responsables de l'application des lois, des journalistes et des écoles en matière de prévention et de lutte contre les agressions sexuelles dans les écoles auront une importance capitale dans la sensibilisation de l’opinion publique à ce problème.
CPV