La Loi foncière de 2024 expliquée à la communauté vietnamienne à l’étranger
Samedi, 29/06/2024 09:53 (GMT+7)
Le Comité d’État chargé des Vietnamiens résidant à l’étranger du ministère des Affaires étrangères, en coordination avec le Barreau de Hanoï, a organisé récemment une conférence pour vulgariser les réglementations et les lois concernant la Loi foncière de 2024 auprès des Vietnamiens d’outre-mer.
|
Lors de la conférence. Photo: Hanoimoi |
L’événement a été connecté en ligne aux ambassades et consulats généraux des pays européens, ainsi qu’à certaines agences à Hô Chi Minh-Ville et Hai Phong.
Le vice-président du Comité d’État chargé des Vietnamiens résidant à l’étranger, Nguyên Manh Dông, a déclaré que cette activité visait à mettre en œuvre les directives du Parti ainsi que les politiques et lois de l’État liées aux Vietnamiens d’outre-mer en fournissant des informations juridiques, en particulier les lois récemment adoptées qui concernent directement les Vietnamiens d’outre-mer.
À cette occasion, des réglementations légales sur les conditions de possession de maisons et de terrains au Royaume-Uni ont également été diffusées pour fournir aux expatriés vietnamiens les informations nécessaires en cas de déménagement, évitant ainsi les risques.
Nguyên Manh Dông a indiqué que le comité souhaite continuer à recevoir des contributions des Vietnamiens d’outre-mer dans la mise en œuvre de la Loi foncière de 2024 en particulier et des réglementations légales en général.
Le comité continuera à se coordonner avec le Barreau de Hanoï et les agences compétentes pour introduire les politiques et les lois du Vietnam et de plusieurs autres pays dans les domaines qui intéressent les expatriés vietnamiens ou qui sont directement liés à leur vie, a-t-il ajouté.
En vertu de la Loi foncière de 2024, les Vietnamiens d’outre-mer ont les mêmes droits et obligations d’utiliser la terre et le même accès à la terre que les citoyens vietnamiens dans le pays, et les citoyens vietnamiens et ceux d’origine vietnamienne résidant à l’étranger peuvent posséder des droits d’utilisation des terrains dans leur pays./.
CPV/VNA