Le Vietnam est l'un des pays avec la plus grande biodiversité dans le monde
La conservation de la nature et de la biodiversité est très appréciée par le Parti et l'État du Vietnam et constitue l'une des solutions pour le développement durable du pays.
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Le Vietnam a de nombreuses politiques pour protéger les forêts naturelles. Photo: baodaknong |
Reconnaissant la nécessité de conserver la biodiversité, depuis les années 1960, le Parti et l'État ont adopté des politiques de protection des forêts naturelles. La détermination et l'engagement de l'État en faveur de la conservation de la biodiversité ont pris plus d'importance après l'adhésion du Vietnam aux conventions CBD (1992) et CITES (1994), avec un réseau de parcs nationaux et de réserves planifiés et établis à l'échelle nationale.
À ce jour, le Vietnam compte plus de 180 aires protégées, dont au moins 20 se sont vu décerner des titres internationaux de valeur de la biodiversité, notamment des Ramsar, des réserves mondiales de biosphère, des sites du patrimoine de l'ASEAN et des sites du patrimoine mondial de produits naturels.
En 2008, l'Assemblée nationale a adopté la loi sur la biodiversité, considérée comme très progressiste, visionnaire, systématique et pleinement accessible aux engagements et normes internationaux.
«Réduire ensemble les atteintes aux enfants»
S’ils sont les futurs maîtres du pays, les enfants, sont par essence vulnérables. Le gouvernement vietnamien, qui s’emploie à créer un environnement sain pour les plus jeunes, a choisi le thème «Réduire ensemble les atteintes aux enfants» pour le mois d’action pour les enfants de 2023.
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Les enfants vietnamiens. Photo: VGP |
Le mois de juin est traditionnellement le mois d’action pour les enfants vietnamiens. Cette année, plusieurs objectifs sont visés: établir un milieu de vie sain et favorable, prévenir les accidents et les blessures, protéger les mineurs par des actions concrètes, dénoncer les actes nuisibles à l’enfant en appelant la ligne rouge, pénaliser les violences faites à l’enfant...
Cette année, le gouvernement a mis en service une ligne rouge pour dénoncer les atteintes aux enfants et publié la liste des services réservés aux enfants qui sont dispensés par les autorités locales, a fait savoir Dang Hoa Nam, président du département de l’enfance, relevant du ministère du Travail, des Invalides de guerre et des Affaires sociales.
«Cette année, nous souhaitons sensibiliser les autorités des provinces et des grandes villes à la protection des enfants. Nous les invitons à consacrer un budget plus important et davantage de ressources humaines aux enfants. Il est nécessaire d’avoir des personnes, au niveau des quartiers, chargées de prévenir toute tentative d’abus et de violence contre les enfants ou encore de veiller à ce qu’il n’y ait pas d’accidents, des noyades, notamment…», a-t-il dit.
Le Vietnam créera des centres de stockage de médicaments rares
Le ministère de la Santé a mis en œuvre de toute urgence la création de 3 à 6 centres de stockage des médicaments rares et ceux dont l’approvisionnement est limité, a déclaré Lê Viêt Dung, chef adjoint de l’Administration des médicaments du Vietnam (DAV).
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Lê Viêt Dung, chef adjoint de l’Administration des médicaments du Vietnam (DAV). Photo: VOV |
Le nombre de médicaments de réserve hospitalière varie de 15 à 20 types et l’antitoxine botulique est en fait également partie, a indiqué Lê Viêt Dung, ajoutant que la DAV travaille avec les représentants de l’OMS, demandant l’aide de l’organisation pour l’approvisionnement en antitoxines.
Six flacons d’antitoxine botulique heptavalent (BAT) envoyés en urgence de Suisse par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sont arrivés le 24 mai à Hô Chi Minh-Ville (Sud) pour traiter des patients intoxiqués par le botulisme.
Le botulisme est une maladie grave causée par le clostridium botulinum, une substance toxique dans les bactéries présentes dans les aliments mal conservés. Il se produit rarement dans le monde et au Vietnam.
Le delta du Mékong développe les ressources humaines issues des minorités ethniques
Les options et les politiques visant à investir dans les zones peuplées des minorités ethniques dans le delta du Mékong, en particulier celles liées à la formation et au développement des ressources humaines demeurent efficaces. Ainsi, l'écart de développement entre les ethnies minoritaires, les régions, les zones urbaines et rurales se réduit progressivement.
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Photo d'illustration/Baodantoc |
Actuellement, le delta du Mékong compte plus de 2.000 écoles maternelles et crèches, près de 5.700 écoles primaires, plus de 1.340 collèges et 350 lycées. Dix des 13 localités dans la région ont des universités. Le delta du Mékong possède également le seul établissement de formation de niveau universitaire en langue - culture - art khmers du pays à l'Université de Tra Vinh.
En ce qui concerne la formation des ressources humaines de la santé pour le delta du Mékong, le professeur associé, docteur Nguyen Trung Kien, recteur de l'Université de médecine et de pharmacie de Can Tho a informé que l'université accordait une attention particulière à la formation des étudiants issus des minorités ethniques dans le but d’augmenter le nombre et d'améliorer la qualité du personnel médical qui travaille à long terme dans les zones éloignées, frontalières, insulaires et peuplées des minorités ethniques. A présent, cet établissement forme d’ores et déjà d'environ 840 étudiants, principalement originaires des provinces de Tra Vinh, Soc Trang, An Giang, Bac Lieu, Hau Giang, Ca Mau, dont la majorité sont des Khmers (83,7%).
Priorité au développement du transport aérien et ferroviaire dans le Tay Nguyen
Le ministère des Transports a déclaré élaborer un plan de développement des transports de manière moderne et synchrone, contribuant à réduire les coûts et assurer la défense et la sécurité nationales dans les Hauts Plateaux du Centre (Tây Nguyên) jusqu'en 2030, avec vision à l'horizon 2045.
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L'aéroport de Pleiku. Photo: Baogiaothong |
Selon ce plan, le ministère des Transports accordera la priorité aux investissements dans les transports aérien et ferroviaire afin de réduire la pression sur le transport routier.
Le ministère encourage les entreprises à accroître leurs investissements dans les véhicules de transport de conteneurs ; l'amélioration de la capacité de manutention des conteneurs; le renouvellement et la modernisation des véhicules, des équipements de chargement et de déchargement et l’amélioration de la qualité de service ; le contrôle de la qualité des véhicules et du carburant, la réduction de la pollution ; l'utilisation de véhicules et de carburants propres.
Il faut continuer à promouvoir l'application des technologies de l'information dans la gestion et l'administration des activités de transport, en particulier les nouvelles tendances technologiques dans le transport et la logistique, afin de prendre des mesures pour améliorer la gestion de l'État et le fonctionnement du marché des transports.../.